Et oui 2012 est pour moi une année difficile sur plusieurs plans sauf un, musicale. Une année qui a beaucoup de rebondissement et qui nous brise le cœur, la mort tragique de Tony Sly, qui nous offre toute qu’une rétrospective du punk rock, les groupes renaissent de leur flamme et les vieux de la vieille nous offre du vieux stock et des intégrales comme par exemple Strung Out, qui existe depuis 1989.
Strung Out est le groupe qui a permis au métal et au punk de se côtoyer, ils ont ouvert pour Metallica et Motörhead à quelques reprises dû à leur férocité et leur talent. Strung Out est un groupe qui a vite compris que ce sont les sacrifices que tu fais qui forge ton destin. Dans le groupe un seul est marié, les autres ont choisi le célibat, les jobinettes de semaine et des appartements trop petits, pour pouvoir à tout moment parcourir le monde entier avec leur punk rock plus que pesant, Ils enchaînent les albums à chaque année pour nous montrer qu’ils sont toujours présent et toujours capable d’innover dans un univers qui leur est propre.
Strung Out est le groupe qui a permis au métal et au punk de se côtoyer, ils ont ouvert pour Metallica et Motörhead à quelques reprises dû à leur férocité et leur talent. Strung Out est un groupe qui a vite compris que ce sont les sacrifices que tu fais qui forge ton destin. Dans le groupe un seul est marié, les autres ont choisi le célibat, les jobinettes de semaine et des appartements trop petits, pour pouvoir à tout moment parcourir le monde entier avec leur punk rock plus que pesant, Ils enchaînent les albums à chaque année pour nous montrer qu’ils sont toujours présent et toujours capable d’innover dans un univers qui leur est propre.
Avant tout ils sont prêts de leur public, ils sont toujours là pour parler et répondre aux questions de leur armée de fans. Toujours là pour les médias et pour nous Prescription Punk Rock, du monde intègre, généreux, drôle et solidement intense. Et justement en 2012 après deux années de sortie d’albums, «Top Contenders: The Best of Strung Out» et «Agent of The Underground» en plus d’un album de rareté 'B-side' intitulé «Prototypes and Painkillers». Ils ont décidé de remercier leur public de façon magistrale, histoire de leur couper le souffle et leur rappellent pourquoi ils sont dans les meilleurs du circuit depuis plus de vingt ans. Partie comme ce n'est là aucune relève ne pourra leur arriver à la cheville.
Ils sont vénéré par des légions du groupe d’à travers le monde et des millions de fans de partout ! Pourquoi ne pas faire une tournée ou le groupe performerait «Twisted By Design» et «Suburban Teenage Wasteland Blues» en intégrale, selon plusieurs leurs deux meilleurs albums, personnellement moi j’aurai mis «Another Day in Paradise» mais qui peut se plaindre devant une telle attention du groupe envers leur public. C’est à quoi nous avons eu droit le 28 juillet dernier au cercle.
Une soirée comme les autres, on se prépare à une septième entrevue avec la formation de Californie, qui sont toujours là pour nous et qui aiment bien rigoler avec nous, ou de nous. Pour nous, une soirée de Strung Out commence devant quelques bières bien froides et on s’aiguise la mentale histoire d’être prêt pour un match punk rock qui sera intense et enlevant. On sent que plusieurs vieux de la vielle qui ont abandonné la scène reprendront du service ce soir et que les vétérans seront là pour donné tout ce qu’ils ont devant un groupe qui est conquis d’avance.
Ils sont vénéré par des légions du groupe d’à travers le monde et des millions de fans de partout ! Pourquoi ne pas faire une tournée ou le groupe performerait «Twisted By Design» et «Suburban Teenage Wasteland Blues» en intégrale, selon plusieurs leurs deux meilleurs albums, personnellement moi j’aurai mis «Another Day in Paradise» mais qui peut se plaindre devant une telle attention du groupe envers leur public. C’est à quoi nous avons eu droit le 28 juillet dernier au cercle.
Une soirée comme les autres, on se prépare à une septième entrevue avec la formation de Californie, qui sont toujours là pour nous et qui aiment bien rigoler avec nous, ou de nous. Pour nous, une soirée de Strung Out commence devant quelques bières bien froides et on s’aiguise la mentale histoire d’être prêt pour un match punk rock qui sera intense et enlevant. On sent que plusieurs vieux de la vielle qui ont abandonné la scène reprendront du service ce soir et que les vétérans seront là pour donné tout ce qu’ils ont devant un groupe qui est conquis d’avance.
Il y a une ambiance électrique dans l'air , je dois rencontrer Jon, le tour manager de Strung Out vers 17h30 au cercle pour les entrevues. On se pointe de bonne heure au cercle, quelques bières d’entamer, et on décide de manger là, je vous le recommande fortement mais fais avoir un peu d’argent dans les poches car ce n'est vraiment pas donné mais on boit et mange bien, vous me direz que dans le cas Strung Out vaut mieux que le liquide soit bon et abondant. Anecdote cocasse j’appelle Jon du cercle, car la salle est divisée en deux parties une et le restaurant et l’autre la salle de spectacle, bien sûr les deux salles communiquent ensemble, mais on peut fermer le tout, à l’heure j’ai appelé Jon tout était clos. Mon amie de fille Audrey me regarde, avec le téléphone à l’oreille et me dit le gars à qui tu parles je crois qu’il est juste en arrière de toi Bed, comme de fait Jon me disait au téléphone tu dors Bed je suis en arrière de toi, bonne nouvelle pour moi l’alcool faisait effet.
J’étais donc prêt pour une solide entrevue avec des vieux potes de Simi Valley que je ne vois malheureusement pas assez souvent, Jordan vient me voir après son souper, ça va Bed, on se tape sa là ? Oui Jordan. On est dehors en train de parler de deux albums mythique qui ont marqué l’univers punk rock, Jordan me dit: « Tu sais les groupes reviennent, on dirait qu’il savait qu’en quittant ils auraient plus d’attention lors de leur retour, on aurait pu quitter et revenir, mais on a décidé de vivre les hauts et les bas », un vrai band punk rockeur, ces gars-là. Sont toujours intense et vrai les Californiens, ils ont de l’attitude mais bien placé. Plus je passe du temps à boire avec eux et plus je capote sur leur cas. Ils sont vraiment géniaux et quand on perce leur carapace on apprend qu’ils sont des êtres super-humain et vraiment émotifs.
Toute qu’une aventure pour les gars jouait deux heures sans arrêt ou presque pour offrir quelque chose qu’ils ont enregistré dans leur jeunnese en plein pouvoir de leur moyen, ils sont maintenant dans la quarantaine avancée et sérieuse ils sont prêts à montrer qu’ils sont toujours aussi en shape qu’avant. Jordan le drummer, considéré comme le meilleur de tout le circuit punk rock par le magazine Rolling Stone voilà quelques années, a perdu du poids et c’est mis à l’entraînement total pour réussir cet exploit de deux heures dans des salles trop petites et bondé de furieux punk rockeur.
Évidament ils étaient à la hauteur, dès les premières notes de Firecracker la foule à rugir et l’alcool a été projeté à toute vitesse dans le sang et à monté au cerveau de tout le monde qui en buvait. Suburban teenage est son intégrale en partant et aucune chance de rattraper son souffle, un groupe tète et un excellent son pour une salle bondée de monde. Le cercle ressemble à une version miniature du club soda mais juste une manie à droite , pas à gauche. Une salle parfaite pour une soirée parfaite !
Évidament ils étaient à la hauteur, dès les premières notes de Firecracker la foule à rugir et l’alcool a été projeté à toute vitesse dans le sang et à monté au cerveau de tout le monde qui en buvait. Suburban teenage est son intégrale en partant et aucune chance de rattraper son souffle, un groupe tète et un excellent son pour une salle bondée de monde. Le cercle ressemble à une version miniature du club soda mais juste une manie à droite , pas à gauche. Une salle parfaite pour une soirée parfaite !
Bien sûr seuls les vrais étaient au rendez-vous les autres avaient mille raisons de manquer un événement épic qui a mon avoir à passer à l’histoire du punk rock. Avec la mort de Tony Sly et les tonnes du groupe qui se sépare on réalise vite que l’univers du punk rock des années 90 s’écroule tranquillement, et parfois rapidement et sauvagement, il faut profiter de ce qui nous reste et Strung Out est un pillier de toute cette vage. Les voir en show dans un contexte comme celui du 28 juillet dernier remet les pendules à l’heure. On a tripé notre vie tout simplement et on a beaucoup de plaisir. Après le spectacle on réalisait malheureusement que c’était déjà passé on en voulait encore! On a déjà hâté de les revoir, après ce qui vient de ce passé avec No Use For A Nom et leur chanteur, mon ami Tony Sly je peux vous dire que réalise la chance qu’on a de les voir encore ensemble après autant d’années, quand les nouveaux groupes tombent après cinq ou sept ans.
«Twisted By Design» est un monument de souvenir pour moi, de pouvoir les revivres dans un show entouré d’amis de longue date ça n’a tout simplement pas de prix. Je tiens à remercier les membres de Strung Out et tous les gens qui se sont déplacé. Grâce à vous une musique qui ne mourra jamais perdure et qui sait après une dizaine d’années de musique vraiment mauvaise on devrait avoir une relève basée sur cette vague qui fût un raz de marrer qui a conquis l’univers et qui garde des secrets incroyable bien caché prêt à être découvert !
À noter que la formation est l’une des rares à être presque resté la même depuis leurs débuts, à l’exception du départ de Jim Cherry qui a joint Pulley avant de mourir. Swan Dive sur Exile In oblivion est un hommage à leur ami Cherry, une chanson touchante et un de mes préférés du groupe. Un excellent album et une pièce incroyable ! Un gros merci à Melanie Kaye, PR, et Jordan Burns de Strung Out pour l’entrevue!
«Twisted By Design» est un monument de souvenir pour moi, de pouvoir les revivres dans un show entouré d’amis de longue date ça n’a tout simplement pas de prix. Je tiens à remercier les membres de Strung Out et tous les gens qui se sont déplacé. Grâce à vous une musique qui ne mourra jamais perdure et qui sait après une dizaine d’années de musique vraiment mauvaise on devrait avoir une relève basée sur cette vague qui fût un raz de marrer qui a conquis l’univers et qui garde des secrets incroyable bien caché prêt à être découvert !
À noter que la formation est l’une des rares à être presque resté la même depuis leurs débuts, à l’exception du départ de Jim Cherry qui a joint Pulley avant de mourir. Swan Dive sur Exile In oblivion est un hommage à leur ami Cherry, une chanson touchante et un de mes préférés du groupe. Un excellent album et une pièce incroyable ! Un gros merci à Melanie Kaye, PR, et Jordan Burns de Strung Out pour l’entrevue!
(Écrit par : Dj Punkassbed)
MEMBRES :
Jason Cruz
Jake Kiley
Rob Ramos
Chris Aiken
Jordan Burns
ANCIEN MEMBRES :
Jim Cherry (31 ans , 1971-2002)
DISCOGRAPHIE :
• Another Day in Paradise (1994)
• Suburban Teenage Wasteland Blues (1996)
• Twisted by Design (1998)
• An American Paradox (2002)
• Exile In Oblivion (2004)
• Blackhawks Over Los Angeles (2007)
• Agents of the Underground (2009)
• Prototypes and Painkillers (2009)
• Top Contenders - The Best of Strung Out (2011)
LIENS DES SITES :
Site Web : Strungout.com
Facebook : Facebook.com/strungout
Myspace : Myspace.com/strungout
C'était malade! This side of town is all I know is all I seeeeeee!
RépondreSupprimerOn fout le bordel samedi à bad religion bed!
RépondreSupprimersacre oui j'amène ma petite puce à son premier show PUNK ROCK sa va être épic !
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